Croniche Della Mafia
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -29%
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 ...
Voir le deal
499.99 €

 

 Vitalis Jack's [Validée ]

Aller en bas 
AuteurMessage
Vitalis Jack's [Evanelli]
Jack's
Jack's
Vitalis Jack's [Evanelli]


Messages : 6
Date d'inscription : 13/11/2012
Age : 81
Localisation : Naples (Casa Principale )

Famiglia
Possession :
Notoriété :
Vitalis Jack's [Validée ] Left_bar_bleue5050/10000Vitalis Jack's [Validée ] Empty_bar_bleue  (5050/10000)

Vitalis Jack's [Validée ] Empty
MessageSujet: Vitalis Jack's [Validée ]   Vitalis Jack's [Validée ] EmptyDim 20 Avr - 11:23



Vitalis Jack's

Jack's




Buongiorno :



• Nom(s) : Jack's
• Prénom(s) : Vitalis
• Date de naissance : 28 Juillet 1946  
• Sexe : F
• Nationalité : Italienne - Anglaise
• Grade : Marraine héréditaire
• Famiglia : Jack's
• Arme(s) : couteaux (placés sur des jambières ) , aiguilles (aux manches ), fusil sniper .
• Animal : Alligator
• Don(s) : Immunità eterna
• Q.I : 170





Description


Physique :


Au grand détriment de la mère, Chiara, qui s'attendait comme toute maman à avoir une fille étant son portrait craché, Vitalis surpris le petit foyer des Jack's en ressortant comme étant le portrait craché du coté paternel.
Ses cheveux longs, noirs comme le jais à peine sorti de la mine brillaient comme le plus poli des charbons, renvoyaient une sensation de douceur infinie, le type de cheveux que l'on a envie de  caresser mais dont on n'ose poser doigt.
Ses yeux , camaïeu de bleu ressemblant à celui de son père , étincelaient de malice, mais pouvaient aussi vous faire détourner le regard ; en effet, lorsqu'elle vous regardait droit dans les yeux, vous ne  pouviez soutenir le regard trop longtemps, car cette sensation d'étouffement et de solitude qu'ils dégageaient pouvait vite vous gêner .
Elle était plutôt grande, et très svelte , mais cela elle ne le devint qu'après plusieurs années d'entraînement , afin de faire d'elle l'assassin parfait .

Chacun de ses gestes était extrêmement délicat, renvoyant l'image des danseurs du Boléro : elle était perfectionniste dans chacun de ses actes, vous ne trouverez jamais une seule tâche sur ses vêtements, qu'elle choisi soigneusement que ce soit pour les missions ou pour la vie de tous les jours .  

Psychologique :

Le changement de la personnalité de la jeune fille s'est fait de façon fulgurante au moment de la mort de son père, sans pour autant partir dans les extrêmes : sa vitalité n'était plus que souvenir , sa soif de connaissance n'avait plus raison d'être.
Adulte, elle est une personne calme au flegme légendaire connu de son entourage . Tout comme son père, elle préfère analyser d'abord et agir ensuite, et comme toute personne humaine et normale, n'accorde sa confiance qu'au bout d'un long moment.
Elle n'est pas rancunière malgré sa haine envers les Vargas, et ne réponds pas aux pics lancés à son égard, n'étant pas impulsive de nature elle garde une énorme patience .
Elle est calme et dégage une aura harmonieuse qui attire les gens autour d'elle comme une mouche, au charisme puissant et jouissant d'une sociabilité qui peuvent contraster avec son regard melancolique de "donna statua" .
Elle ne possède aucune pitié en ce qui concerne l'assassinat. Elle pense que c'est juste son devoir d’exécuter des missions où l'on doit éliminer la vermine, et a une vision bien à elle du bien et du mal.




Histoire du personnage

Passato (Passé) :

Né en plein été sous une chaleur étouffante, Vitalis apportait avec elle le semblant d'animation qu'il manquait au foyer des Jack's.
Pour son père elle fut une véritable bénédiction, sa mère qui attendait le jour où elle pourrait créer sa propre famille libre et sans chaîne était enfin arrivé.
Malgré cela la petite Vitalis fit vite son choix concernant le parent avec qui elle serait très attachée, et ce fut Eduardo, à son plus grand bonheur, au détriment de sa mère, qui elle s'occupait de lui donner l'éducation stricte pour qu'elle devienne une parfaite lady , son père lui s'occupait de sa culture générale et de l'apprentissage de matières diverses, allant des sciences à l'étude des langues .

Vitalis passait une enfance très heureuse en compagnie de son père.
Ils sortaient la plupart du temps, dans le jardin où marchant le long des ruelles, lui apprenant le nom de chaque fleur, chaque élément les entourant, ce qui consolida leurs relation.
Chiara elle lui apprenait les bonnes manières de vivre en société, et n'appréciait pas le coté frivole des leçons de son mari, mais aimait les regarder s'épanouir d'un œil attendri.
La petite assistait son père dans ses cours clandestins aux enfants du village, et chaque matin faisaient le chemin ensemble .

Cependant, il existait toujours des personnes qui se devaient de gâcher le bonheur d'autrui, de briser cet équilibre instauré entre les personnes, enviant la réussite des autres et ne supportant pas que l'on contrecarre les plans leur permettant d'atteindre les sommets.
Les Vargas voyaient cette tentative d'éducation clandestine comme une sorte d'élévation d'une future armée de rebelles qui pourraient se révolter sur le régime actuel de l'Italie, pauvre et affaiblie par cette guerre qui semblait l'entraîner dans une spirale infernale .
Ils voyaient en Eduardo une sorte de "sauveur" des espoirs et moeurs perdues des villageois, et il fallait à tout prix l'éliminer.

Malgré les menaces, Eduardo ne sembla pas céder, et continuer à emmener sa fille tous les matins aux leçons, comme convenu.
Cette harmonie père-fille n'allait décidément pas durer très longtemps, les Vargas n'en voulait pas rester là décidèrent que cette fois il fallait passer à l'action .
Le plan était préparé de façon assez bâclée, mais le taux de réussite avoisinait les 95%, ils étaient donc très confiants de leur réussite.

Ce matin là, alors qu'ils passaient par cette ruelle traversée tant de fois, Eduardo semblait tendu, et la petite le ressentait, dans le silence pesant qu'il lui imposait, si contrasté par rapport aux longs débats animés qu'ils tenaient quasiment tous les jours .
Lorsque son père s'arrêta, l'atmosphère semblait si oppressante que Vitalis voulait être n'importe sauf cette ruelle macabre, aux  murs des bâtiments fissurés par la vieillesse et le temps.

"Cara mia, ti prego, nous allons jouer à un nouveau jeu. Veux -tu bien te cacher sous la voiture jusqu'à ce que Daddy t'appelle ? Tu verras, tout se passera très vite ."


La petite, ne comprenant pas trop bien la situation , hocha la tête par réflexe, voulant toujours faire plaisir à son  père, ne lui ayant jamais désobéi .
Elle roula à contrecœur sous la voiture, ne pouvant s'empêcher de tirer la langue en une moue peu satisfaite, se rappelant que si sa mère trouvait ne serais ce que l'ombre d'une tâche sur ses shorts elle lui ferait passer un sale quart d'heure.

Son père avait raison, tout se passa très vite.

Elle eût à peine le temps d'éxécuter une respiration que le silence fut brisé par un bruit sourd qui résonna dans les oreille de la petite, qui d'instinct se boucha les oreilles , et fermant ses yeux si fort qu'elle en commença à voir des formes psychédéliques .
A' peine eût-elle jugé bon les ouvrir, qu'un crissement de pneus se fit entendre au loin, et au moment où elle tourna la tête le corps de son père, sans vie, s'était affalé sur le sol dans un bruit étouffé.
Le liquide brunâtre se dégageant du trou ouvert de son crâne s'était déjà frayé un chemin à travers les dalles de pierre, et entourait la tête de l'anglais dont les cheveux dispersés renvoyaient à une scène macabre d'une peinture hollandaise .

Vitalis ne comprenait pas trop l'attitude de son père, cela faisait-il partie du jeu ? Faisais t-il simplement la sieste ?
Vous pouvez vous étonner de l'innocence d'un enfant, mais rien n'est plus douloureux que de la voir se briser en mille morceaux lorsque la réalité des faits vient la fracturer.
Car Vitalis ne comprenait pas pourquoi la petite troupe de civils, tous entourant le cadavre du paternel, enlevaient chapeaux et les posaient contre leurs torses, baissaient ou évitaient les regards, certains pleuraient en silence et d'autres se demandaient quel malheur venait de s'abattre sur le joyeux foyer des Jack's .

Vitalis ne percuta que lorsque l'un des hommes secoua légèrement Eduardo , et lui ferma les paupières, jusque là ouvertes.
Un souvenir, un petit souvenir qui, le jour vécut, semblait si banal qu'elle s'étonna quelques années plus tard de la fraîcheur de celui ci encore intact dans sa mémoire d'enfant .

Un jour un rat s'était introduit dans la résidence et s'était faufilé jusqu'au petit salon  où Chiara buvait le thé, et n'ayant eu la patience d'attendre les gouvernantes l'avait tué en un seul coup de balai, et les majordomes n'arrivèrent que trop tard pour pouvoir enlever le cadavre raidi avant que la petite ne le voie.
Et pleine de curiosité, elle avait demandé à son père pourquoi l'animal ne bougeait plus.

Tu es encore trop petite pour comprendre, mais tu vois, la petite souris, s'en est allée vers un endroit où elle ne pourra plus revoir sa famille ni ses amis, et où elle sera très seule .

Vitalis n'avait compris un traître mot, et face à son visage perplexe son père avait souri tristement.
Elle avait commencé à comprendre le concept du mort et du vivant , mais cela restait encore un vrai mystère pour elle.

Mais là, il n'y avait plus de mystère, plus de perplexité, la dureté de la réalité l'avait claquée de plein fouet, et elle venait de comprendre que son père s'en était allée dans ce fameux endroit d'où on ne reviendrait pas , qu'elle ne pourra plus assister à ses leçons, ni le serrer dans ses bras.
L'image de son père mort s'était figée dans son esprit d'enfant .

______________________________________________________________________________________

La mort d'Eduardo changea l'humeur de chacun  dans les jours qui suivèrent.

Chiara ne sortait plus de sa chambre, et n'avait plus de force pour s'occuper de la petite, qui avait été laissée entre les mains des gouvernantes. La petite à son tour inquiétait celle ci, elle ne mangeait plus, ne lisait plus, et semblait déterminée à ne plus parler jusqu'à ce que sa mère se montre pour la redresser à sa place.

La deuxième guerre éclatait depuis bientôt 3 ans, et Chiara qui, avait commencé peu à peu à se faire à l'idée du départ de son mari, décida soudainement, en ce printemps de 1943, qu'il était hors de question qu'elle perde encore une fois un être cher, et décida malgré les gueulantes de sa fille et ses plaintes que celle ci partirait en couvent pour une durée déterminée,  jusqu'à la fin du siècle s'il le fallait .

Non seulement séparée de son père , mais maintenant de sa mère et de sa maison, la jeune fille ne savait plus quoi faire pour se remonter le moral.
Mais contrairement à ses idées reçues, le couvent allait s'avérer comme une brise d'air frais pour Vitalis.
En effet, comme si le temps dans l'enceinte de l'établissement s'était arrêté, Vitalis passa ses années de jeunesse à apprendre les rudiments de la vie de jeune fille, mais aussi commença l'apprentissage de la stratégie de guerre, chose peu conventionnelle dans les couvents, mais que les sœurs trouvaient judicieux d'apprendre à leurs jeunes élèves.
Lorsque Chiara vint chercher Vitalis, qui était devenu un brin de jeune fille, celle ci fut extrêmement déçue de s'apercevoir que sa mère l'avait laissé de coté alors que son pays dont elle en chérissait chaque brin d'herbe se faisait mutiler, les villages bombardés et pillés, et la vue de ses ruines autour d'elle lui apporta la nausée .

Sa mère avait eu le temps de façonner une idée qui allait non seulement permettre à Vitalis d'aider les populations plongées dans la crise de l'après guerre, mais aussi redorer le blason des Jack's souillé par l'humiliation exécutée par les Vargas.
Elle allait certes se servir de l'image de Vitalis, mais cette dernière était d'accord, voulant tout faire pour apporter la contribution qu'elle n'avait pas pu donner durant cette guerre.

Vitalis devint une image sacrée au sein des peuples italiens.
Beaucoup réclamaient son aide, tandis que Chiara tirait les ficelles, et s'entraînait d’arrache pied pour que chacun puisse trouver justice .

Lorsque Chiara lui annonça qu'ils faisaient maintenant partie de la Pègre, Vitalis ne fut pas réjouie de savoir qu'elles étaient désormais à un grade ressemblant à celui des Vargas .
Chiara lui avoua alors que le lien entre les Jack's et la Pègre existait depuis bien longtemps, et que les traditions ainsi que le destin de chacun, lorsqu'il était choisi depuis la naissance, ne pouvait être changé et restait immuable. Vitalis devait devenir Marraine, qu'elle le veuille ou non, et Chiara allait faire en sorte que sa petite famille, jusque là uniquement composée de  femmes ayant subi blessures physiques et morale, devienne l'une des plus puissantes de la Pègre.

Et cela allait commencer par l'éducation de Vitalis.

Tout d'abord, Chiara voulait spécialiser sa famille dans l'art de l'assassinat.
Elle n'avait pas pardonné les Vargas d'avoir assassiné Eduardo de façon si vulgaire, et le sens du perfectionnement de Vitalis allait jouer un bon point pour son nouvel entraînement.

A' uniquement 16 ans la petite était déjà capable de se faufiler n'importe, de passer inaperçue grâce à des tests que sa mère effectuait sur elle, comme celle du plat de gâteaux.

En effet, au milieu d'une pièce vide, une assiette de simple gâteaux était posée au centre , le but étant de prendre les gâteaux sans se faire voir, tout simplement.
Au début la jeune fille eût beaucoup de mal à assimiler les justes mouvements pour que, au moment où la personne clignait des yeux, regardait à gauche, changeait l'axe de sa vue, la petite puisse prendre les gâteaux un par un .
Jouant avec les ombres et l’environnement entourant, Vitalis se perfectionna dans sa vitesse et son analyse de la couverture totale, mais cela ne suffisait pas pour sa mère, qui voulait toujours aller plus loin.
Les entraînements diffèrent les uns avec les autres, la famille s'agrandissait de plus en plus.

Vitalis apprit rapidement à manier les couteaux et autres aiguilles, mais son arme favorite restera le sniper, qu'elle maniait d'une dextérité la qualifiant parfois de monstre par les autres femmes-assassin.

Le don des Jack's n'est pas héréditaire, et c'est Vitalis qui le provoquera, à la surprise de certains.

En effet, lorsqu'on était assassin, une thématique paraissait comme évidente dans le choix du domaine de prédilection, et chez les Jack's c'était le poison.
En effet, herboriste accomplie, Chiara avait appris d'Eduardo maintes recettes de poisons et autres serums qu'elle pouvait confectionner à partir d'une plante basique .
Ses recherches l'amenèrent à la conception d'un sérum, qu'elle ne fabriqua qu'en une seule série, le sérum de l'Immunità completa.

En effet, maints espions s'étaient fait attraper puis capturer par les cibles de bases, qui leur faisaient cracher tout et n'importe quoi à l'aide de poisons et autres substances douteuses .
Chiara voulait arriver à créer un sérum capable de rendre la personne qui l'ingurgitait insensible aux moyens de tortures par voie orale .
Elle s'était, au début, refusée à l'idée de le tester sur sa propre fille, mais celle ci, prête à atteindre la perfection de l'image des Jack's, avait accepté sans broncher .
Cela s'avérait délicat, car après s'être faite injecter le sérum,  il fallait le tester, et le meilleur moyen était de lui faire avaler le plus redoutable des poison, qu'était celui de l'atrax, produit par cette araignée australe qui pouvait tuer un humain en cinq simple minutes.
Après avoir avalé d’affilée le sérum et le poison, c'est avec une surprise soulagée que Vitalis remarqua qu'aucun effet secondaire, ni de douleur ne l'avait terrassée.
Chiara, consciente du danger du sérum et de son importance, décida de détruire chaque fiole crée ainsi que de la recette, pour que le secret de ce sérum, qui maintenant se déplaçait dans chaque veine, artère de son corps ne reste enfermée entre les corps des Jack's au fil des générations.

Vitalis fut connue comme étant le meilleur assassin que la famille Jack's n'aie eu, et jusqu'à maintenant considérée comme une image quasi divine d'un exemple de perfectionnement absolu.
Ora (Présent) :

Apocalypto (Apocalypse) [Facultatif] :





Benvenuti


Vitalis Jack's [Validée ] 919948102683961394036257543294110405814n
Revenir en haut Aller en bas
 
Vitalis Jack's [Validée ]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Crystal [Dispo + Validée]
» Yukiko Jack's [Validée]
» Tetsuro ShiroKuro [ Validée ]
» Furia : Cyborg [Validée]
» Akva : The Element [Validée]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Croniche Della Mafia :: Commencement :: Personnages :: Fiche de présentation.-
Sauter vers: