Vulkana : Peacekeeper [Validée]

Physique :
Vulkana est une jeune femme de taille moyenne : Elle mesure 1m71 et sa masse corporelle est de 53 kg. Avec son IMC de 18,1 elle fait partie de la classe dite "Maigre" cependant, elle a des formes généreuse ce qui la fait passer pour une femme de taille "normale" au lieu de "maigre".
Vulkana a une poitrine très développée, avec ses belles hanches elle donne l'impression d'avoir des courbes parfaites ce qui lui fait une silhouette sexy et ferme.
Elle a des cheveux ondulés et oranges que l'on qualifierait de roux et des yeux de couleur noisette ce qui représente parfaitement sa personnalité.
La jeune rousse est une Peacekeeper dont l'élément est le Volcan de ce fait, elle est toujours vêtue de petites tenues cachant l'essentiel de son corps. Ces petites tenues sont généralement oranges brodés de motifs divers jaunes et ce sont une sorte de revêtement que lui accorde son pouvoir.
Psychologique :
Comme son nom de code l'indique Vulkana fait référence au Volcan. En effet, la jeune femme peut paraître froide avec son visage sérieux comme un volcan dit "endormi" et elle peut être aussi explosive comme un volcan dit "en éruption".
A première vue, Vulkana est une femme plutôt réservée et solennelle. Elle se présente toujours comme quelqu'un de distant. En réalité c'est une femme vive avec un regard pétillant et prête à tout exploser à coup d'œil.
Son physique la reflète de près, en effet ses vêtements sont aussi courts que ses relations sociales, la couleur de ses cheveux correspond à son tempérament et la couleur de ses yeux représente son habita naturel : Sous terre. En effet Vulkana préfère vivre loin des hommes, elle les cohabite uniquement pour laisser s'exprimer ses pulsions meurtrières d'où son caractère sanguinaire.
Mentalement la jeune rousse est plus qu'instable. Elle peut parfois être qualifiée d’insupportable et dit toujours ce qu'elle pense. Peut être pas "toujours" effectivement elle a des sentiments immensément intense pour Fajro et elle arrive parfaitement à le cacher du moins c'est ce qu'elle espère car devant lui elle ne peut s'empêcher de s'emporter pour un oui pour ou non.



Passato (Passé) :
Vulkana vivait dans une famille normale, ni pauvre ni riche. Son père était un chercheur ambitieux et sa mère était une simple femme au foyer. Ces derniers s'étaient rencontrés pendant le printemps en Italie. Son père montra les délices de la vie à sa mère et celle ci adhéra avec joie. En effet lors de leur rencontre, cette dernière voulait mettre fin à ses jours. Ils vivaient heureux et pensaient déjà à se marier alors qu'ils n'avaient que 20 ans. Deux mois plus tard, Ils apprirent qu'ils seront bientôt parents. À cette époque les moyens de contraception n'étaient pas vraiment au point. Furieux, le père de la future maman décida de retourner en Écosse. C'est sans hésiter que le futur papa alla en Écosse avec son amante malgré les menaces de ce père.
Voila l'histoire de ses parents que lui avait raconté sa mère.
Vulkana eut une enfance triste. Elle n'avait pas d'amis, tout le monde l'approchait car son père était un célèbre chercheur. À l'âge de 10 ans sa mère lui révéla qu'elle n'était pas mariée à son père et qu'elle restait avec lui pour son argent. La jeune fille ne la croyait pas jusqu'au jour où elle l'a surprise avec le voisin. Début du traumatisme. Que dire ? À qui le dire ? Comment le dire? Pourquoi ? Elle détesta sa mère ce jour là. Son père n'était jamais là, il voyageait partout dans le monde à la recherche d'une certaine pierre.
La jeune fille ne mangeait plus, se forçait d'aller en cours et c'est là qu'elle mangeait, qu'elle mangeait des critiques et du mépris à la cuillère.
Elle passait la moitié de sa scolarité à fuir ses collègues de classe. À son retour, voir le visage de sa mère souriant lui donnait des nausées.
Ça allait faire 5 ans qu'elle n'avait pas vu son père.
15 ans déjà, sa vie était une éternelle routine, l'école, la maison, sa chambre. Dans les trois endroits elle était persécuter : À l'école elle était violentée par ses camarades de classe, à la maison sa mère était comme morte à ses yeux et dans sa chambre elle pensait à ses journées.
"Je suis rentré !" Cette phrase dite par son père n'était qu'un simple rêve qui ne tarda pas à se réaliser. Il était bel et bien de retour. Comment réagir ? Dolce qui avant était remplie de joie ne réussit à afficher un simple sourire. Devant son père qu'elle n'avait pas vu pendant 5 ans elle resta froide avant d'éclater en sanglots pendant près de 3 heures sans s'arrêter.
Elle voulait comme se libérer. Son père vint la consoler et ils sortirent tous deux. Une petite balade accompagné de son père lui fit un grand bien.
Pendant toute une semaine la rousse qui avait vécu 5 dernières années à se lamenter retrouva sa joie de vivre petit à petit.
Sa mère semblait heureuse et elle oublia pendant cette semaine leur conflit. Toutes les bonnes choses ont une fin. Son père devait voyager à nouveau. La jeune fille vit sa petite lueur d'espoir disparaître. Elle avait l'espoir de vivre à nouveau le bonheur qu'elle avait jadis perdu. Les dernières paroles de son père était : "Je vais y retourner, tu sais cet endroit où les rêves se réalisent. Je vais y retourner afin de forger ton futur. N'oublie jamais ça.. Tout ce que je fais c'est pour toi." Elle y croyait dur comme fer et était fière de son père. Tout était parfait jusqu’à ce jour. Ce jour où tout a basculé. La lycéenne revenait des cours, elle allait entrer dans sa chambre quand elle entendit sans le vouloir une conversation entre son père et sa mère. Ils semblaient se disputer. Sur un ton énervé son père dit : "Oui et alors ?! Je vais y retourner par pure égoïsme ! Je n'y peux rien, je suis comme ça. Quant à toi, tu es mal placé pour me faire la leçon, qu'as tu déjà fait pour elle à part la porter pendant 9 mois ? " Et d'un air dédaigneux sa mère répondit : "Je l'ai porté pour toi ! je ne voulais pas un enfant moi! De plus, à part aller à la recherche d'une pierre que tu ne trouveras jamais tu ne fais rien! Tu raconte n'importe quoi aux autres pour faire bonne figure, j'en ai marre de toi, de tes mensonges. Toi et moi savons très bien que cette enfant n'aurait pas dû venir au monde, alors arrête."
Comment réagir ? Elle se pressa dans sa chambre et y resta pendant près de 2 jours.
Elle finit par y sortir toute décoiffée. Une fois de plus elle se trouvait au mauvais endroit, au mauvais moment. Elle entendit à nouveau une conversation de sa mère mais cette fois ci c'était avec le voisin. Cette dernière lui disait qu'elle avait envoyé son père à l'ouest du pays sur l'archipel Saint-Kilda. Elle rigolait d'un rire diabolique. Frustrée l’adolescente sortie de la maison en courant, elle était vêtue d'une simple robe à voile qui traînait à même le sol. Sans savoir où aller, elle courait, elle voulait tous sauf être dans la même pièce que sa mère ou même encore, respirer le même air qu'elle. Il n'y avait aucun habitant sur l'archipel Saint-Kilda, c'était connu ça ! "Comment pouvait-elle être aussi cruelle ?" pensa Vulkana.
Il se faisait presque tard, elle marchait seule dans la rue errant sans but dans le froid. Il était presque 22h, il fallait rentrer maintenant. En rentrant, elle passa devant un magasin d'électronique, il y avait plein d'écrans géants exposés et protégés par une barrière vitrée. Elle s'arrêta devant un écran, une image l'interpella. Sur cette image, un homme semblait désespéré. Il s'agissait d'un flash info ayant pour titre "Un homme fait naufrage sur l'archipel interdit"
Elle tomba sur les fesses quand elle reconnut le sac rouge de son père. Qu'allait-elle faire ? Après tout ce père l'avait trahit. Terrifiée, elle tremblait de partout, ne pouvait plus bouger. La nuit qui était censée lui porter conseil mais cette dernière lui avait donner un coup qui pouvait lui être fatale. Elle se releva aussi vite qu'elle le put. Ses jambes tremblaient comme des feuilles. Étrangement, Vulkana se mit à marcher dans une direction opposée à celle de chez elle. La jeune fille allait à l'ouest dans la nuit marchant sans s'arrêter jusqu'à ce qu'elle arrive devant un port. Le silence était maître des lieux. En effet il n'y avait personne, juste un petit bateau prêt à rendre l’Âme après une longue durée de vie. Ça se voyait. Cette pirogue était vieille, elle avait l'air si fragile qu'une simple aile d'oiseau la briserai en morceau. Ne pas se fier aux apparences, telle est la leçon que elle apprit ce soir là. Elle monta sur ce petit bateau long et étroit. Heureusement pour elle il y'avait des pagaies dedans alors elle se mit à pagayer sur l'océan Atlantique en avançant en ligne droite. Il faisait très froid, elle avait peur mais était si excitée à la fois. C'était un nouveau sentiment. Mais que faisait-elle ? Elle allait à la rechercher de qui ? de son père ? Même après ce qu'elle avait entendu ? Oui, elle y allait et était bien déterminée.
Le soleil se leva. On entendait des bruits, des moteurs de bateaux. La rousse ouvrit les yeux et vit au loin des gens arrivés en bateaux pour secourir quelqu'un qui se noyait. Apparemment personne ne l'avait remarquer. Elle ne savait pas où elle se trouvait mais savait qu'elle était trop loin. Que faire ? Devant elle se trouvait un grand rocher et au loin des îles qui semblaient inhabitées. Seule au monde ? Non, plus jamais. Il fallait y mettre un terme. Jusque là Vulkana était très douce, et se faire remarquer n'était pas dans son vocabulaire peut-être que c'était ça le problème. Il fallait y remédier si elle ne voulait pas passer sa vie sur un vulgaire rocher au milieu d'un océan et seule. La jeune rousse se mit à crier. Son cri était bien plus puissant que celle d'une baleine bleue, résultat ? Elle réussit à s'attirer les foudres de l'univers.
Une fumée noire sortie du rocher suivi d'un gonflement accompagné de léger séisme. Désespérée, elle commençait à perdre l'équilibre sur le rocher. Elle ne savait pas que ce n'était pas un rocher ordinaire, mais un volcan. Sans le savoir le magma remonta et la lave atteint le sommet du volcan, elle s'accumule et finit par exploser tel un jet propulsant Vulkana en hauteur avant de complètement l’engloutir. La lave qui avait atteint l'air libre avant l'impressionnant jet de lave s'écoulait sur les flancs du volcan. Le contact de la lave à l'eau augmenta le pouvoir explosif de cette éruption. Ces mouvement furent tellement puissant que cela créa un tsunami. Du jamais vu depuis 400 ans. C'était une scène inimaginable. La jeune fille cru que sa vie était terminée.
Les gens au loin regardait tel un spectacle sans bouger d'un pouce. Une fois de plus elle était abandonnée.
Peu de temps se sont écoulés. Elle ouvrit les yeux et vit deux hommes près d'elle. Elle était allongée dans le sable sur une île qu'elle n'avait jamais vu. Elle se sentait lourde, comme ci une grande patte a modeler l'avait fixée au sol. A côté d'elle un homme qui avec un petit bout de bois lui touchait la jambe. Ce petit bout de bois prenait instantanément feu alors il sursautait puis aller couper un autre bout de bois pour recommencer. De l'autre côté était debout un homme plutôt grand qui semblait pensif et plus charismatique.
Le grand pensif répondait au nom de "The Wall" et l'autre au nom de "Stalo."The Wall lui demanda son prénom, et elle ne répondit pas, encore sous le choc. Autour d'elle, on n'entendait plus les oiseaux volés. "Suis je au paradis ?" pensa t-elle.
Ce qui se passa entre eux reste un mystère. Plus tard, elle apprit qu'elle fût engagé en tant que Peacekeeper. Vulkana ne dit pas non, ça lui était égale à présent. Elle n'eut besoin que d'une heure pour tout apprendre. Concernant son nouveau talent. En effet jusque là son talent était de s'attirer des ennuies, maintenant elle avait un autre talent qui n'était qu'autre qu'un don. Le volcan, n'est pas un des plus puissant éléments ? Elle peut contrôler les roches, laves comme bon lui semblait. Face à l'eau elle pouvait créer des explosions impressionnant, face à n'importe quel élément elle se sentait en position de force.
Accumulant des missions, Vulkana se retrouvait toujours dans des situations où tuer était la seule solution. Elle ne cessait d'étendre son goût pour le meurtre. Cela devenait peu à peu une passion. Elle ressentait toujours le besoin de se venger pour toutes ses années d'enfer. Et selon elle, respirer le même air que les êtres humains était presque blasphématoire alors elle préfère vivre loin des hommes. Pour ne plus jamais souffrir elle décida de s'enfermer à jamais. De ce fait elle cache ses émotions, et quand ceux ci la submerge un peu trop, elle prend la fuite ou elle se défoule en violentant. Ce qui est sûr, c'est que l'ancienne rousse était vraiment morte, morte le jour de ses 16 ans.

Ora (Présent) :
Apocalypto (Apocalypse) [Facultatif] :
Citations :
- L'homme n'est bon qu'a trahir.
- C'est en éruption que je me dévoile.
- Vous serez les chassés et je serais le chasseur.
- Ma haine est éternelle, ma bonté est éphémère.
- Les flamme ne m'atteignent pas alors comment vos sentiments le pourraient ?