Frosto : Peacekeeper

Physique :
Le Peacekeeper de glace est encore jeune lorsqu'il fut admis chez The Element, son physique n'a donc pas encore atteint la forme finale de l'adulte .
Étant scandinave de souche, il possédait, avant sa transformation, des cheveux mi-longs d'un blond platine et des yeux bleus foncés, ainsi qu'une peau pâle comme la neige, qualification très répandue dans les pays nordiques .
Il est petit de taille et possède des traits enfantins qui font émerger chez les autres un sentiment de protection envers lui , ce qui peut le complexer par fois, mais sans trop le gêner .
Après sa transformation, ses cheveux clairs devinrent carrément blancs, un blanc pur aux reflets brillants. Ses yeux restèrent bleus, mais prirent une teinte plus claire, de couleur des glaciers polaires.

Psychologique :
C'est un jeune garçon très émotif, il est tout le temps poussé aux larmes à cause de Fajro. Il partage tout avec Akva, secret et autre. Il est très sociable et n’hésite pas à se faire de nouveaux amis. Son jeune âge et son imprudence l'empêchent d'utiliser son pouvoir à sa limite. The Wall raconte qu'il pourrait faire d'énormes dégâts avec son don et aussi qu'il peut perdre connaissance à tout moment alors depuis on lui a interdi de l'utiliser à 100%.
C'est quelqu'un de très ingénieux et comme le constate The Wall, son génie se cesse d'augmenter.


Passato (Passé) :
Le peacekeeper de la Glace naquit en Norvège, dans les coins tranquilles de Bergen où il vivait paisiblement avec ses parents et sa petite sœur.
Sa famille étant très pauvre,  et ne pouvant à peine payer le loyer le père fut obligé d’emprunter certaines sommes d’argent à des personnes jugées peu « fréquentables » dans le coin.
Malgré les efforts du père pour rehausser la situation financière de la  famille, ils retrouvèrent vite en manque d’argent, à sec, ne pouvant plus rembourser les dettes cumulées durant ces années.
S’ajoutant à cela une crise importante que traversait le pays, les bandits à qui il avait demandé de l’argent ne voulurent entendre aucune excuse quant au non-remboursement des dettes, et débarquèrent ainsi un jour dans l’habitat de notre pauvre famille.
En premier temps ils se mirent à casser le peu de mobilier, babioles objets qu’il leur restait, et tout ceci sous les yeux impuissants de la famille, afin de leur apprendre la signification de l’humiliation lorsqu’on était pauvre et dans l’incapacité de payer ses dus.
Ensuite, ils entreprirent d’attacher le père aux mains et aux jambes à la seule poutre qui servait à tenir le plafond, tandis que la mère s’inquiétait pour son fils, qui, quelques heures plus tôt, avait été envoyé par celle-ci pour une course qu’elle lui avait confiée. Au vu de la situation, elle profita de l’occupation des bandits pour courir dans la chambre de la fille cadette afin de la protéger et la rassurer.
Mais malheureusement pour elle, l’un des deux malfrats remarqua rapidement les gestes de la femme prête à s’échapper, et tout aussi rapidement il l’attrapa d’un geste furtif avant qu’elle ne puisse atteindre la chambre de la fillette, puis la traîna jusqu’à son époux.
Le père, se rendant compte que leur dernière heure était en train d’arriver, décida en dernière circonstance d’implorer le pardon des deux bandits, hurlant mille et un pardons, promettant pour la énième fois qu’il les remboursera.
Mais les hommes n’étaient pas dupes, et ils avaient attendu trop longtemps. Le coupant dans sa parole, l’un des deux hommes, celui qui avait attrapé et tenu fermement la femme, l’égorgea d’un coup sec  sans absolument aucune pitié, sous le regard mortifié du mari, qui n’eût pas le temps de pleurer la mort de sa femme qu’il se vit décocher une balle en plein crâne par le premier homme, lassé des gémissements du couple.
C’est à ce moment-là que le garçon revint à la maison, loin de s’attendre à être spectateur d’un carnage au sein de son foyer.
La porte ouverte, et l’odeur putride de sang lui frappa aux narines, tandis que son regard se plaça automatiquement sur le cadavre de ses parents jonchés au sol.
Rien ne pouvait décrire la haine et la tristesse qui frappèrent son esprit, faisant monter en lui un torrent de larmes qu’il ne put contenir.
La vue troublée, il fit un effort surhumain pour se reprendre, ses sens étant désormais en alerte.
Lorsque les hommes remarquèrent la présence du jeune garçon, ils se hâtèrent de l’attraper à son tour, mais il étant plutôt agile, il réussit tant bien que mal à leur échapper, tout en remarquant au passage que la petite sœur ne se trouvait pas dans la pièce, faisant naître en lui l’espoir qu’elle soit encore en vie.
Il se précipita donc dans la chambre de sa sœur, les malfrats à ses trousses, et à peine trouvée il se hâta de l’envelopper dans un drap blanc, puis la porta afin de s’échapper tous les deux par la fenêtre de la chambre, qui donnait sur le quai de Beren, et se mit à courir, sa sœur dans ses bras.
Malgré son habilité, il n’était pas assez rapide pour pouvoir les semer une bonne fois pour toutes.
Conscient du danger, il décida de sacrifier quelques secondes du temps précieux qu’il leur restait pour cacher sa sœur dans la barque d’un pêcheur, lui ordonnant de ne pas bouger.
Il reprit sa course poursuite avant que les hommes ne purent remarquer l’absence de la petite fille et fit de son mieux pour les éloigner tous les trois de la barque.
Malheureusement, l’écart entre les deux commençait à s’effacer, et bientôt le jeune homme ne put continuer davantage, essoufflé à s’en crever les poumons.
Il savait maintenant que sa mort était proche, mais il put ressentir une once de soulagement à l’idée que sa sœur puisse au moins survivre.
Les hommes, eux aussi essoufflés, étaient impatients de planter une balle dans le crâne de ce morveux, mais à leur plus grande surprise il reçurent  un appel soudain de leur supérieur leur ordonnant de ne pas tuer le gamin, mais de l’embarquer avec eux.
Le garçon, s’attendant à mourir, se fit assommer par les deux hommes, plongé dans le noir total. Pensant qu’il fut mort, c’est avec surprise qu’il ouvrit les yeux dans un endroit totalement inconnu , le froid mordant et la neige faisant rage .
« Ne suis-je pas mort ? » se questionna-t-il.
Les deux hommes le prirent chacun brusquement par le bras pour le guider vers un établissement ressemblant vaguement à une institution scolaire, un lycée sûrement.
Lorsqu’ils frappèrent à la porte, ce fut une dame âgée qui leur ouvrit, à la surprise du garçon. Plus surprenant encore, elle leur tendit une liasse de billets, tandis que les hommes poussèrent le garçon à l’intérieur.
La porte à peine fermée, la vieille dame emmena le garçon dans une chambre uniquement occupée par un simple lit.
Dès qu’il fut rentré, elle referma la porte à double tour, ses pas s’éloignant peu à peu.
Il s’assit péniblement, fatigué mentalement et physiquement à cause des évènements de la journée qui lui semblaient cauchemar, sur le petit lit, son visage dans ses mains. Il se posait une multitude de questions, mais ce qui le préoccupait le plus était l’état de sa sœur. Etait-elle encore en vie ? L’avait -on recueillie ?
Peu à peu bercé par ses pensées, il finit par s’endormir d’un sommeil lourd.

Après ce qui semblait avoir été une éternité, une cloche retentit lourdement dans tout l’établissement, une cloche de crèche ou d’école primaire au son puissant, réveillant notre jeune ami.
A’ peine s’être étiré que la porte se déverrouilla, laissant entrer la vieille dame de la veille tenant fermement une pile de vêtement de rechange.
Après cette changé, elle l’invita à sortir de la chambre aux allures de prison pour la suivre, traversant maintes couloirs jusqu’à arriver dans une pièce gigantesque faisant office de réfectoire, où une multitude d’enfants s’ trouvaient déjà, tous possédant un air malade, certains portant avec eux une perfusion de sérum , comme dans les hôpitaux .
L’ai froid qui régnait sur la salle ne gênait plus le jeune garçon, s’étant adapté rapidement à la condition climatique de cet endroit encore inconnu.

Les jours suivirent ainsi, jusqu’au jour où, alors que le jeune garçon était encore perdu dans ses pensées, un homme vêtu d’un tablier blanc à l’allure suspecte entra dans la chambre de celui, tenant en main une seringue assez voyante qui paraissait encore plus suspecte que l’homme qui la tenait, éveillant au garçon des doutes  au garçon.
Après l’administration de la piqure, le garçon comprit que ses doutes d’étaient révélés juste. Il sentit ses paupières très lourdes, et ne put refreiner la forte envie de dormir. Un anesthésiant  puissant sûrement .
Il se réveilla quelques instants plus tard, mais cette fois non pas sur son lit mais adossé à une chaise , dans une pièce à l’allure glauque .
Il regarda furtivement autour de lui, et découvrit avec horreur les corps sans vie des enfants à l’air malades vus au réfectoire, éparpillés un peu partout dans la pièce, tandis que les médecins s’affairaient autour du garçon, qui entre temps fit de son possible pour se débattre afin de se détacher des liens serrés qui l’attachaient à la chaise, mais son état était encore trop faible pour pouvoir y échapper , et cette fois, il fut contraint encore une fois d’affronter son destin.
Et pourtant…quelque part au fond de lui quelque chose s’éveilla, une force enfouie qu’il avait gardé au plus profond de son cœur. Il se concentra sur cette étincelle, qui lui procurait une force nouvelle, et essaya d’étendre son pouvoir.
C’est avec un hoquet de surprise que les médecins remarquèrent que le corps du jeune homme était en train de subir une soudaine transformation.
Ses cheveux prirent une couleur blanche à la pureté immaculée , et alarmé par la situation l’un des médecin attrapa l’une des seringues sur la table d’opération, l’approchant dangereusement du visage du garçon, qui pendant son temps s’affolait de plus en plus, envahi par la peur, son rythme cardiaque augmentant à une vitesse folle, le siège sur lequel il était assis se mit à geler  surprenant les médecins restant, qui reculèrent tous par réflexe .
Le regard du garçon se fit glacial, paralysant de peur  les médecins.
Il dégagea d’un geste de la main le médecin qui tenait la seringue et détacha facilement ses liens,  contrairement à quelques instants auparavant .
Après s’être levé, il empoigna le premier objet qu’il lui tomba dans la main, en l’occurrence un scalpel laissé par l’un des chirurgien qui avait fuit a pièce, et décida de s’en servir comme arme de défense.
Mais cela n’effraya en aucun cas les médecins restant et les infirmières, qui prirent une position de cercle autour du dangereux individu, ce qui le déconcerta un instant, leur permettant de lui enlever le scalpel et de l’immobiliser à terre.
C’est ainsi que, après tout ce qu’il vécut, le jeune homme vit vraiment son heure approcher définitivement, il ne pouvait désormais plus s’attendre à un miracle.
L’une des infirmières présente lui planta une aiguille remplie d’un sédatif puissant en plein dos, tandis qu’il se débattait jusqu’à ses dernières forces, en hurlant de rage, avant de s’évanouir pour ce qui semblait, éternellement.
Comme dans un rêve, le garçon  s’éveilla doucement, ne pouvant croire qu’il s’en était sorti encore une fois.
Et pourtant, autour de lui, le spectacle était macabre.
La pièce entière était gelée, étant pourtant blindée, et les individus semblaient tous morts de froid, leur peau ayant pris la teinte violette de l’hypothermie.
Encore une fois, il avait survécu.
Se levant péniblement, la seule chose qu’il le poussait à bouger était la volonté à sortir de ce cauchemar, mais sentant ses forces l’abandonner, il trébucha près de la sortie, s’affaissant  lourdement sur le sol.
Réunissant ses dernières forces pour se relever, il remarqua en relevant le visage qu’un homme se tenait debout devant lui, le scrutant d’un œil curieux. Il était accompagné d’une jeune fille  à l’apparence charmante, qui lui souriait gentiment.
L’homme dégageait une aura de charisme qui frappa de plein fouet le garçon, se disant à lui-même que cet homme n’était sûrement pas comme les autres hommes qu’il avait pu côtoyer jusqu’à présent .
L’homme mystérieux lui tendit une main salvatrice , qu’il empoigna volontiers, l’aidant à se relever .
Il se présenta à lui du nom de « The Wall », et présenta ensuite la jeune fille, qui s’appelait Akva .
Drôle d’endroit pour faire des rencontres, pensa le garçon, mais le plus étonnant furent les paroles qu’accompagnèrent cette présentation.
En effet, The Wall fit une proposition intéressante au héros : s’il rejoignait son groupe d’élite qu’il formait actuellement, il lui donnerait réponse à toutes les questions qu’il se posait en ce moment.
Le garçon, qui n’attendait qu’une perche ne lui sois tendue, perdu au milieu de cet endroit enneigé et coupé du monde,  accepta l’offre de The Wall , voulant comprendre sa situation.

Ora (Présent) :
Frosto, voilà le nom de code qui lui a été attribué par The Wall, maintenant qu'il fait parti de cette organisation il s'est fait ami avec tout les membres du personnel, il était même devenu le chouchou du groupe.  The Wall lui confie rarement des missions en solo à cause de son jeune âge. Dans la plus part de ses missions, il est souvent accompagné d'Akva, l'une des Element primaire. Akva se comporte comme une grande soeur envers lui, ce qui ne déplaît pas à notre jeune peacekeeper. Il est devenu comme son protegé depuis leur rencontre au canada. Quand Fajro vient s'en prendre à lui, Akva est la première à lui barrer la route en le frappant sans pitié.  
Quand Frosto est confronté à un duel, il prend sa mission très au sérieux, son regard devient froid, ses yeux s'éclaircissent vers le bleu glacier et ses cheveux deviennent aussi blancs que la neige. Il est très intélligent et use avec sagesse de son don mais le noble The Wall l'interdit d'utiliser son pouvoir à 100% car il n'est pas assez fort pour le maitriser.
Il s'entend parfaitement avec Aero, ceux sont aussi les deux plus jeunes du groupes, Aero et Frosto passent leurs journées à faire les 400 coups aux autres membres du WHDJ. Pour les jeunes porteurs de la glace et de l'air, le WHDJ est comme une famille pour eux.
Il est assez proche des deux cyborgs de Ŝtalo, Haruka et Hiraku, elles sont comme des anges gardiennes pour lui. Quand à Fajro, pour lui c'est comme un grand frère, malgrè qu'il ne cesse de l'embêter mais quand Frosto a de sérieux problèmes, Fajro est le premier à la défendre. 
Sekeco et Ŝtalo sont les ''vieux'' du groupe pour lui, il a énormément de respect pour ses deux personnes ainsi qu'à The Wall. Et c'est réciproque pour les Peacekeeper du Métal et celui du Sable. Chaque soir, Frosto part discrètement de sa chambre pour aller entendre les contes et légendes que raconte Sekeco. Ŝtalo est comme son moniteur, il est toujours derrière lui pour lui dire quoi faire, ou bien pour le gronder, il lui répète tout le temps qu'il doit prendre son rôle plus au sérieux. Quant à Vulkana, elle fait tout pour l'effrayer car en faisant ça elle embête aussi Akva qui sont comme des soeurs ce qu'il lui donne plus le droit de l'agacer encore plus.
Nokto est le seul qui parle à Frosto, certe il lui parle froidement néanmoins si Frosto a des questions, Nokto sera toujours pour lui.
Etant trop jeune il ne pourra avoir de cyborg sous sa responsabilité, mais il s'avère que dans un futur assez proche, The Wall constatera que le jeune enfant manque cruellement de relations de son âge, le fondateur fera donc en sorte de lui trouver un garçon cyborg de son âge pour devenir son ami et que les deux puissent grandir ensemble.

Apocalypto (Apocalypse) [Facultatif] :

Inconnu pour l'instant