Croniche Della Mafia
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 Famiglia Vargas

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Famiglia
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MessageSujet: Famiglia Vargas   Famiglia Vargas EmptyLun 22 Avr - 11:08

« Ne sous-estimez pas les petits adversaires : un lion se voit, pas un virus. »
Auteur Anonyme

Ere Mafiosi. Début de la Première Guerre Mondiale, qui allait annoncer des événements atroces qui changeraient à jamais la façade de l’humanité et ses doctrines, mais également naissance de Don Matteo Vargas, petit poupon à la masse capillaire déjà très fournie et brune.
Ses yeux vides mais en même temps si significatifs dès son plus jeune âge montre à quel point il grandira prématurément et pas forcément de la meilleure des manières.
Ce jeune homme bien que solitaire avait de très grandes ambitions et en grandissant il nourrit ses ambitions avec beaucoup plus d’engouement, c'est ainsi que même en étant seul il fit en sorte de s'entourer de quelques hommes (souvent des crapules et autres voleurs) pour suivre ses projets et les développer. Ils n'étaient pas forcément tous de confiance, et ni des hommes d'honneur à l'époque, ceci est d'ailleurs une tradition dans cette Famiglia.
Cette bande de malfrats multiplia les braquages de banque, les actes de vandalisme tout en augmentant le nombre de membres dans leur rang.

Tous ces jeunes hommes commencèrent à se faire un nom dans le milieu du banditisme et ceci en même temps que la montée en puissance des premières familles mafieuses Ces événements majeurs dans l'Histoire du Monde inspira le jeune garçon.
Il s'informa quelque peu sur les intentions des Premiers Parrains pour comprendre le but de leurs manoeuvres, et il étudia l'influence qu'avaient ces derniers à l'échelle mondiale, il en calcula une progression démentielle sur les années à venir ; ce qui le poussa à fonder sa propre Famiglia.
Cependant, pour pouvoir s'inscrire en tant que Famiglia à part entière dans le monde de la Mafia il fallait soit être noble, soit accomplir un acte héroïque reconnu par la nation toute entière, mais ce dernier avait énormément de ressources.
L'année qui s'écoulait pour l'Italie allait être marquée par une union royale avec un autre pays de la vieille Europe : la Belgique. Don Matteo eut une idée fort brillante, il planifia un une mise en scène d'un faux assassinat envers le couple de futurs mariés : la princesse Marie-José et le prince Umberto d'Italie. Dans cette comédie, il voulait faire un triomphe sur la grande place public d'Italie en faisant semblant de sauver les fiancés de l'attentat préparé, ce qui ferait de lui un héros national.
Une fois le temps venu, il réussit son coup à merveille et fut reconnu comme héros de la patrie par le couple royal et par le roi et la reine. Le roi adouba Don Matteo comme chevalier d'honneur de la Nation, tout comme le Primo Evanelli qui lui fut adoubé 1 an plus tôt.
Ceci était la naissance de la Famiglia Vargas, et l'avenir semblait radieux.

Les années passèrent, mais ne se ressemblèrent pas, car le succès attendu sur le long terme par le Primo Vargas ne fut pas. Don Matteo avait tout calculé sauf les envies de pouvoir de ses hommes. Plus de trois quart de ses hommes n'étaient pas de confiance, surtout son bras droit : Lotto di Vercetti. Alors que la famille Vargas prenait de l'ampleur à travers le monde, le Bras Droit qui était dans un territoire conquis fit renverser des gouvernements et imposa ses propres candidats aux élections de certaines républiques déjà branlantes. Ceci encrassa cette réputation acquise depuis peu par le Parrain. Celui-ci qui avait tout d'un génie était bien trop naïf dans le choix de ses fréquentations.
L'histoire d'élections truqués et d'épuration ethnique financées et aidées par le Bras Droit des Vargas fit le tour du Monde et sali la réputation des Vargas. Don Matteo ne put que subir mais il réduisa la casse en faisant un tri énorme dans ses membres et en limogeant son bras droit. Seulement quand un virus s'installe, il ne part jamais plus et ceci fut le cas à l'image des petites frappes installées au seins des Vargas. Pour lui, il mit une nouvelle justice en ligne de mire, celle de la sélection de l'élite, seuls ceux qui le méritaient vraiment.

Depuis, Don Matteo à la recherche de cette gloire qui lui est passé sous le nez et de ses projets détruits se saignait jusqu'au sang afin de redorer le blason de la Famiglia ce qui le fatigua chaque jour de sa vie, et cerna ses paupières, ses yeux vides semblaient représenter le mal pur, il n'avait plus aucune compassion et il chercherait la victoire coûte que coûte même si il fallait se ranger avec les plus mauvais.

Le Primo Vargas ne pourrait pas endosser toute sa vie ce rôle éreintant, il lui fallait un autre appui quelqu'un sur qui vraiment compter aveuglément, et il se trouve qu'il acquit la perle rare chez un jeune homme.
Son nom est Gino Niccolò dei Macchiavelli. Ancien « Peacekeeper » travaillant à la solde du WHDJ, il en est arrivé, suite à certaines conséquences, de se faire bannir définitivement de la fameuse organisation. Ses idéaux étaient bien trop différents de ceux que le WHDJ voulaient suivre, et son esprit, changeant radicalement de racine de réflexion, se trouvait en totale contradiction avec l’état d’esprit de Elton et The Element.
Mais laisser partir ainsi l’un de leurs meilleurs agents n’était pas coutume chez eux, et pour éviter tout risque de rébellion ou bien même d’expansion de leurs secrets et autres informations sans pour autant arriver à la solution d'élimination, il fut décidé dans une réunion secrète qu’ils exécuteraient un lavage de cerveau complet à Gino.
Après la brutale opération, l’homme ayant perdu tout souvenir de son passé au sein du WHDJ, fut relâché dans la nature comme un vulgaire cobaye ne servant plus à rien.
Son amnésie soudaine l’empêchait de se rappeler de ceux qui lui avaient fait tant de mal, mais une chose était certaine : au plus profond de lui, Gino nourrissait une rancœur envers quelqu’un. Comme il est dit, un homme peut être détruit, mais un homme ne sera jamais vaincu.
Trouver ce quelqu’un. Une personne au milieu de ce vaste monde, autant chercher une aiguille dans une botte de foin.
Gino était perdu, désemparé, on lui avait enlevé son identité, ce qu’il était. Un homme qui ne connaît pas son passé ne peut évoluer. C’est la logique même de cet univers, de ce que nous sommes.
Et pourtant cet homme fera exception à la règle.
Et pour qu’il y ait exception il faut qu’il y ait une action principale. Et celle-ci sera la rencontre entre Gino et Primo Vargas .
Primo Vargas était à la tête de la famille Vargas, une organisation de la Pègre plutôt insignifiante par rapport aux grands noms qui se murmuraient de parts et d’autres du monde. Elle était composée d’homme ayant tous mal tourné, corrompus, allant de la petite frappe au tueur implacable.
Primo Vargas y pensait, depuis quelque temps, à l’idée d’avoir un bras droit de confiance, mais comment faire confiance à qui que ce soit de sa propre organisation lorsque l'on sait que chacun est le synonyme même de méfiance ?
Il rencontra un Gino errant, confus, des questions existentielles lui attribuant d’horribles mal de crâne, au coin du café de la ville, appuyé maladroitement contre un mur, la tête dans les genoux.
Primo savait reconnaître à vue de son œil expert les hommes qui répondaient parfaitement au profil que recherchait sa famille. A croire qu’il fonda de grands espoirs sur cet homme qu’il ne connaissait même pas mais qui avait tout l’air d’avoir d'avoir connu beaucoup de choses dans sa vie.
Les choses ne se firent pas attendre. Le temps passé à flatter, à nourrir la soif de vengeance de Gino, à le rééduquer à la façon Vargas permit à Primo de façonner son futur bras droit, tel un diamant brut transformé en joyaux.
Gino faisait la fierté du Capo. Il apprenait vite, savait écouter, comprenait parfaitement tout ce que son aîné lui expliquait et s’avérait être sur la même longueur d’onde que le chef. Ce dernier faisant de son mieux afin que « l’apprenti » recouvre au plus vite sa mémoire, il en profitait en passant de gonfler davantage l’envie de vengeance jusqu’à explosion, faisant de Gino un homme rempli de rancœur.
Jusqu’au jour où, après de longues journées passées à faire de Gino le bras droit parfait, Primo, qui ne se trouvait pas avec celui au moment des faits, fut tué de la façon la plus mystérieuse qu’il soit, dans son bureau dans la plus grande discrétion possible.
Ce fut à Gino de prendre la tête de la famille Vargas, jugé le plus apte à reprendre les rênes et à en faire une puissance naissante.
Malheureusement, l’image de base que les Vargas renvoyaient à autrui n’étant pas positive, ne fit que se détériorer au fils des années que Gino passait à diriger l’organisation, il n'arrangeait rien car sa devise était : « Tous les moyens sont bons pour arriver à ses fins ». Elle en arriva à une telle bassesse qu’elle fut surnommée « La colonie des rats », le pouvoir principal de la famille étant la prolifération de ses membres un peu partout, possédant des traits du visage pouvant les faire passer pour n’importe qui.
Les Vargas n’agissaient de leur plein gré que lorsque une famille ne leur plaisait pas, comme pour les Ilaria ou les Jack’s, où ils se permirent de tuer les chefs des deux familles respectives. Gino avait très bien compris sa place au sein de ce nouveau Monde dirigé que par les plus fort, la loi de la jungle : si tu ne peux devenir reconnu, alors sers les plus forts ; agis pour eux, obtiens leur protection, et ainsi tu pourras accroître ta force. »
Gino décida donc de travailler uniquement pour les familles qui s’opposaient à une justice stupide d’entraide et de soutien : ils travaillèrent d’abord avec les Capobianco, mais retournèrent rapidement leur veste lorsque les Drakeo devinrent l’une des grandes puissances de la Pègre. Et justement, leur état d’esprit étant quasi le même que celui des Vargas leur permirent de s’entendre sur le même point : il fallait éliminer la trinité Evanelli, Shirokuro, Jack’s.
Faisant de leur mieux pour essayer de gagner en puissance, les Vargas s’attirèrent de plus en plus d’ennemis au fur et à mesure qu’ils agissaient pour leurs supérieurs, et une atmosphère de haine intense les entouraient.
Gino n’oubliait pas la vendetta qu’il cachait au fond de son cœur, et pour lui, il n’y avait qu’une chose à faire : tout le monde devait payer.
Quelques années plus tard, tout comme Primo le fit pour lui, il accepta à ses côtés un Rookie, un jeune garçon à l’aura mystérieuse du nom de Leo. Celui-ci ressemblait étrangement au Primo dans sa jeunesse, ce qui était le plus choquant dans cette similarité est son regard vide, froid voire malveillant.
Tout comme lui à ses débuts de mafieux, Leo semblait prédisposé à le devenir. Il dégageait quelque chose de malsain, quelque chose dont on ne pouvait mettre le doigt dessus et qui pourtant vous glaçait le sang malgré son air de jeune garçon innocent.
Ce même garçon, qui, quelques années plus tard, mènera le monde à sa perte, à la grande surprise de tous.
Après tout, comme le dit Primo, la veille de son départ au cieux : « La mort n’est que commencement. »
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